1500 km plus tard, le temps est venu de rendre notre avis.
La deuxième épreuve est celle de la route.
Je pourrais résumer ce qu’il convient de penser des aptitudes routières (et autoroutières) de cette Volkswagen Passat Alltrack en une question : avez-vous déjà fait 600 km sans aucune fatigue ?
Bouchons franciliens, autoroutes et routes de montagne et pourtant une arrivée à destination frais comme un gardon, prêt à faire le trajet dans l’autre sens et tout cela sans avoir à se faire une intraveineuse de café. Pour moi, c’est une sensation inédite.
Alors bien sûr, les aides à la conduite, et le fauteuil massant de surcroît, y sont pour beaucoup. Néanmoins, les passagers sont tout autant choyés que le conducteur. Ils bénéficient eux aussi d’assises confortables, en phase avec la qualité de l’amortissement, et l’habitacle lumineux et chaleureux devient un cocon reposant.
Le confort général du véhicule en fait donc une formidable machine à avaler les kilomètres.
Mais est-ce que cet appétit pour les bornes est assorti d’une gloutonnerie pour le carburant ?
7,4 litres/100 km en moyenne sur ces 1500 km avec passagers et bagages : donc je vous laisse seul juge de cette performance mais gardez à l’esprit qu’il s’agit de la version « 4 Motion ». A titre personnel, j’estime ce véhicule plutôt sobre